En direction de Tacuarembo puis Ipora.

La route est bordée de forêts de pins et d’eucalyptus. Ces derniers sont utilisés pour en faire du papier. Nous croisons une multitude de gros camions transportant d’immenses troncs qui sont acheminés dans des usines qui, à partir des fibres de celluloses contenues dans le bois, le transforme en pâte. Elle est obtenue grâce à un procédé chimique à température élevée qui permet d’isoler la cellulose. Cette pâte est ensuite acheminée par bateaux depuis Montevideo vers la Chine notamment, pour y faire du papier.


Nous nous arrêtons au bord du Lago de la Juventud près de la petite station balnéaire d’Ipora où nous trouvons un joli bivouac pour la nuit.