Nous longeons la côte très déchiquetée et sauvage,  toujours en direction du nord,  et  cherchons un endroit sympa pour se poser au bord de l’eau. 

Au Chili comme en Argentine d’ailleurs, il y a énormément d’endroits jonchés de détritus… et souvent, c’est la décharge à ciel ouvert … c’est bien malheureux, l’éducation n’est pas la même que chez nous …

Mais en prenant un petit chemin plus difficile d’accès pour un véhicule non 4x4, nous arrivons à une petite plage de cailloux et de coquillages assez propre ! Youpie ! 


Nuit au sud de Paposo. En direction d’Antofagasta 

Une très, très longue montée de 83 km 

nous amène sur un plateau à 2’100 m d’altitude puis, c’est une interminable descente quasiment rectiligne …

Nous faisons un petit crochet pour voir la Mano del Desierto, une gigantesque main de granit de 11 m de haut qui émerge du désert. Cette sculpture et a été réalisée en 1992 par l’artiste chilien Mario Irarrázaval. 


Arrivée à Antofagasta

Pourquoi nous arrêter dans la deuxième plus grande ville du Chili ? Nous espérons trouver ici des entreprises/magasins spécialisés qui seraient capables de nous faire de petites réparations (IPad, IPhone), changer une ampoule du phare avant, réparer le miroir qui vibre d’un rétroviseur, … Des petites choses pas très urgentes mais qui traînent depuis un moment car on ne trouve pas les bonnes personnes pour le faire. Il nous faut également faire le plein d’eau (difficile au Chili), trouver des copeaux de bois pour nos toilettes sèches (encore plus dur car pas de forêts dans les environs et donc pas de scieries). 

Nous allons donc rester le temps qu’il faudra dans cette ville.


Nuit a Antofagasta